Durant une intéressante et houleuse discussion, devrais-je dire un débat de fond, un des premiers lecteurs du tome un m’a lancé : « Et tu vas faire quoi avec tous les gens qui n’ont pas lu le premier avant d’acheter le deuxième ? » …
Ebahi, abasourdi, estomaqué et même interloqué, je suis resté sans voix (si si, pour une fois).
» Tu ferais bien de préparer une introduction » me lâche ce satané lecteur devenu bêta (qui entre nous, s’est quand même vu remettre une bonne grosse partie du second tome) !
Toujours face au phénomène, à l’hurluberlu, je reste songeur pour finalement l’écouter et préparer une certaine note d’introduction que je vous livre en primeur. Voici donc l’introduction de l’introduction. La suite au prochaine épisode.
Si vous n’avez pas lu le tome 1…
… et bien sachez déjà que c’est une grave erreur que de ne pas avoir lu le premier tome. Mais comme vous êtes déjà retardataire, que je sens votre culpabilité poindre le nez devant ces quelques lignes et surtout, surtout que nous savons déjà vous et moi que vous êtes trop flemmards pour le lire, en voici un court résumé !
Je tiens aussi à ajouter que toute tentative de « spoiler », comme disent maintenant nos amis à mes risques anisés par les séries Netflix, sera d’office traduite par un renon de signature si vous avez la chance d’avoir entre les mains un exemplaire dédicacé. Le cas échéant, merci de respecter ceux qui d’un dur labeur ont scrupuleusement tourné toutes les pages, scrutés les coquilles (dans un premier tome, ça arrive surtout en auto-édition), dévoré mes mots et la litanie de sens que j’ai essayé de donner.
Mais soyons sérieux, revenons à nos moutons. Il était une fois…