De la pub, oui mais !

Bon d’accord, une pub c’est fait pour vendre, pour attirer le client comme on dit, pour comme qui dirait faire plier l’échine du portefeuille, histoire d’en faire tomber quelques menues (même si on est passé à l’euro) pièces vers le maroquin du vendeur !  C’est vrai, c’est vrai.

Et pourtant, cette pub, celle-ci en particulier n’est que pure évocation de la réalité.

Regardons les ingrédients de plus près :

  • 100 % espionnage.  Evidemment mis à part quelques scènes d’action, des galipettes (tout ce qu’il faut, pas plus), un peu de clopes, de camaraderie et de descentes de spiritueux, « j’vois pas en quoi c’serait pas de l’espionnage ! » comme dirait un des fidèles lecteurs.
  • Action garantie.  « C’est certain, dl’action y’en a !  » comme dirait toujours l’abruti qui lit son BrabanCIA accoudé devant sa Jupiler bien fraîche.
  • Du roman à clef ?  j’ai changé les noms, mais beaucoup de choses sont vraies, heureusement pas toutes (notamment au sujet des galipettes)
  • de la guerre froide, du Russkof, du « Caincain », du Brit made in SAS et tout le toutim : ça pullule  dans ce satané roman !

Enfin, oui !  On trouve ce superbe espiolar*, premier du genre, dans quelques librairies et en ligne.

Bonne lecture.

*Espiolar : nom d’origine saintvalienne, qui signifie roman d’espionnage sauce polar.
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